Comme l’adage le dit si bien, on ne choisit pas sa famille.
Oui, d’accord… mais il est aussi tant d’autres contextes nous contraignant à côtoyer l’insupportable…
Alors comment faire lorsque l’on se retrouve à côtoyer un individu malveillant ? Lorsque l’on pense ne pas pouvoir faire autrement ? Lorsque celui-ci fait partie de sa classe d’école, de son entreprise, de son cercle amical ; pire, de sa propre famille ?
Comment faire lorsque l’on ne peut s’y soustraire ?
Pourquoi et pour qui (d’autre), le plus souvent ?
C’est une des grandes difficultés sociales que chacun peut rencontrer, surtout lorsqu’il se trouve être sensible et bienveillant, lui-même.
Comment supporter la présence de cet autre qui se présente comme hostile, ne serait-ce qu’à son propre bien-être, à sa propre sérénité, au moment de se côtoyer, bon gré mal gré ?
Les personnes malveillantes se reconnaissent au malaise qu’elles instaurent, aisément, et à répétition là où elles se trouvent ; là où elles débarquent.
Ce sont généralement des gens ne montrant aucune réticence à la rustrerie, sans rien de délicatesse, dénués de sincère générosité ; tout étant toujours dans les apparences, pour les plus hypocrites d’entre eux.
Seul confronté à cela, il est naturel d’imaginer difficile la gestion d’une telle confrontation, s’il faille même véritablement la gérer. Et cela n’est pas un tort, mais cela n’est pas la seule issue.
Le coaching est tout à fait indiqué pour aborder cette problématique, sachant qu’on ne change pas les autres, ne pouvant se changer que soi-même.
Et ce changement dans l’équation change déjà toute la donne, je vous l’assure !
Ici, évoluer pour s’orienter et agir de la manière la plus adéquate à soi-même est fortement recommandé afin de ne plus se heurter en entretenant des routines qui nous le rendent mal.
A cela, l’un pourrait dire que la malveillance ne se caractérise pas ; à cela je lui répondrais que c’est totalement faux ; ne serait-ce qu’énergétiquement.
La malveillance est aussi néfaste que la malfaisance, l’une étant motrice de l’autre ; l’une enclenchant l’engrenage de l’autre.
Alors, avant d’engager ce travail personnel de coaching si précieux pour votre « mieux-aller », soyez sûrs que vous êtes dignes de rompre avec ce qui vous est intolérable ; sachez que votre propre bien-être prime et primera toujours sur les attentes ou les exigences qui pèsent sur vous, quelles que soient leurs origines.
© Tous Droits Réservés – Article écrit par Elise Rousseau – Coach Certifiée RNCP 1